C??ait la dixi?e exp?ition, une exp?
anniversaire donc. La première a eu lieu en
1997.
La Rivière vers -600 (?iage)
La première semaine
La
première ?uipe (Bart, Erik VDB, Paul) part pour
4 jours de bivouac souterrain dans la Salle des
Marsupilamis. La première soir? est une soir?
d?i? ?Murphy, r?aration des tentes de
bivouac, le r?haud ?essence Peak One et la
foreuse Ryobi. Le deuxi?e jour nous passons ?
l?explo du puits que Mark et Erik avaient trouv?
l?ann? derni?e dans la partie amont de la
galerie Lagaffe. Il fait 25 m de profondeur mais
est continu?par un petit mééndre trop ?roit
(au courant d?air aspirant). Apr? nous
traversons au-dessus du puits et trouvons encore
100m de belle galerie : Galerie Spirou. Arr?
sur un petit Eboulis. Il n?y a pas beaucoup
d?int?? ?travailler l?puisque ? va vers
l?amont. Une jonction est faite entre la Galerie
Spirou et la base du Puits Averell Dalton (le
plus grand). Tr? bien, gr?e au bouclage nous
pouvons corriger une erreur dans la topo de
2005.
Pour
terminer la journ? nous allons fureter dans la
zone o?Mark et Erik ont atteint le point aval le
plus loin en 2005 : le terminus de la Galerie Lagaffe. Vue sur un petit puits ?d?obstruer,
tr? peu de courant d?air. Nous rentrons au
bivouac assez d?rim?, il ne reste aucune suite
?idente.
Le
jour d?apr? nous retournons quand-m?e vers le puits au
terminus de Lagaffe. Trois heures de travail ?
la Ryobi et nous ouvrons un puits ?roit de 13 m
avec fort courant d?air aspirant. Bart passe une
étroiture extr?e pour constater que la suite
consiste en une crevasse verticale impénétrable.
Dommage.
Salle Gargamel
On
cherche de nouveau ?fond dans le Lagaffe, le
fort courant d?air se perd quelque part. Sans
succ?, le courant d?air dispara?
progressivement par des ouvertures au sol vers
des galeries sous-jacentes inconnues?
Pour
conclure la journ? nous descendons le puits en
haut de la Galerie Azra? : un beau P37 avec
arr? sur sol argileux.
Notre explo n?a pas rapport?grand chose, 200 m
de topo et plus qu?une seule possibilitéénbsp;: la
base des Puits des Daltons, mais c?est de la
grosse d?ob. Le quatri?e jour nous prenons le
chemin du retour. ?-200 nous trouvons un mot de
l??uipe qui devrait prendre la rel?e, Annette
et Mark. Annette s?est fait mal au dos et ils
ont d?faire demi-tour. En effet Murphy nous
poursuit. Non seulement la deuxi?e ?uipe s?est
vue ramen? ?2 personnes puisque Jaco n?a pu
nous rejoindre pour cause de maladie, en plus
cet accident idiot vient tout g?her.
Heureusement que Mark et Annette ont d???uip?
le FR3 les jours d?avant jusqu??-160 m.
Deuxi?e semaine
Des
renforts nous arrivent : Marcel, Tjerk et Mario.
Mais comme Mark veut rentrer plus t? nous ne
pouvons pas les attendre. Je suis donc oblig?
apr? ?peine un jour de r?up de quitter de
nouveau le soleil pour 3 jours d?obscurit?et de
froid (la temp?ature au bivouac est d'?peine
3,5 ?C) pour accompagner Mark.
Nous
photographions beaucoup en route et ne nous
d??hons pas, Mark se foule la cheville gauche
presque au d?ut (au Shunt du Vent). C?est assez
s?ieux et il semble que nous allons devoir
faire demi-tour. Mais Mark mord sur sa chique et
nous arrivons vers 17 h au bivouac. Moi je suis
crev? mais Mark ne tient pas en place et veut
absolument aller travailler au fond des petits
Puits des Daltons (Jack, William et Joe). Donc
coup de pompe ou non, nous y allons ! Des
petits puits s?ar? par des passages ?roits :
un m?ange entre le Trou Bernard et la Chawresse
(trous belges ?roits). Le dernier puits se
prolonge par une fissure d?otivante, 15 cm de
large et au moins 3 m de long puisqu'on ne voit
pas de nouveau puits derri?e. Mais le courant
d?air aspirant est tr? tr? fort, donc nous
nous mettons ?l??uvre avec la Ryobi et autres.
Vers 23 h nous voyons enfin un grand trou noir :
youpi, un grand puits. Il est minuit pass?que
nous sommes au lit, mais cette fois avec des
r?es doux ! D?apr? nos calculs nous ne devons
plus descendre ? que ? de 37 m pour atteindre le
schiste (et donc la Rivière ?).
Le
jour d?apr? nous nous y pressons. Encore
quelques heures de d?ob muscl? et nous pouvons
descendre un grand puits, le Puits Lucky Luke,
qui recoupe une grosse galerie. La galerie a une
bonne carrure, 5x5 m et est donc baptis?
Galerie J?ome, elle continue dans les deux
sens. Encore suspendu ?la corde, je sens le
courant d?air passer dans la galerie. Enfin, je
me rends compte que nous avons trouv?? la ?
suite.
Puits Lucky Luke
Le
puits de 15 m queute en bas. Mais d?apr? mon
altim?re nous avons d?ass?la profondeur de
-648m : enfin au bout de 20 ans la grotte est
plus profonde. Du fond du puits, Mark peut
escalader une douzaine de m?res sur des blocs
instables pour atteindre la galerie au dessus.
Mais nous sentons directement que nous sommes
dans le mauvais tronéén de la galerie,
ici
le courant d?air est soufflant;
il
faut aller ?l?oppos? Un peu plus loin un nouveau puits
profond nous arr?e de toute faéén.
Atteindre l?autre c??c?est bien autre chose,
mais apr? une heure d?acrobaties nous y
arrivons. La galerie se divise tr? vite et nous
prenons la branche de droite en supposant que
les galeries sont parall?es. Erreur capitale !
Apr? 100 m de galerie pas tr? spacieuse
(2x2 m), la Galerie J?ome, nous arrivons dans une belle petite
salle de 10x10 m, Salle Barabas. Ici nous
perdons le gros du courant d?air. Une descente
entre les gros blocs nous donne encore 100 m de
galerie descendante, on retrouve du courant
d?air mais tout s?arr?e dans une trémie. Il est
tard, donc nous retournons tout en
topographiant.
La galerie J?ome
En
remontant les Puits des Daltons nous estimons
qu?il faut faire travailler la Ryobi ?plein
rendement et d?idons donc d??argir quelques
passages. Les vibrations d?achent du plafond un
gros bloc, pesant bien 200 kg. Nous sommes tous
deux l?un derri?e l?autre dans un mééndre et ne
pouvons nous sauver, le bloc se d?ache 1 m
au-dessus de ma t?e. Il existe certainement un
ange gardien pour les Spéléos, parce que dans sa
chute le bloc bascule et tombe juste entre nous
deux. Il fr?e ma nuque et mon dos (sans mal),
me bloque dans le mééndre, et blesse Mark au
pied (l?autre), botte et chausson n?pr?e
?lat?, mais nous survivons ! Mark parvient ?
me lib?er. Sans aucun doute un des moments les
plus intenses de ma carri?e.
Il
est de nouveau minuit, demain nous retournons
vers la surface, nous sommes tr? satisfaits et
avons encore eu quelques leééns.
Entretemps une ?uipe de surface (Annette,
Tjerk, Marcel) ont fait un essai rat?pour
continuer l??uipement du FR3 : Tjerk n?arrivait
pas a passer le Mééndre Sanglant ?-80 m. Cela a
inspir?Mark et Erik V. d'aller ?argir
l?obstacle : merci les gars !
La
troisi?e ?uipe de pointe qui partait pour 3
jours avait de bonnes perspectives. Ils sont
quatre : Annette, Tjerk, Marcel et Bart qui vont
continuer l?explo dans la Galerie J?ome. Ils
cherchent sans succ? dans la Salle Barabas.
Puis ils descendent le puits que Mark et moi
avions vu dans le tronéén amont de la Galerie
J?ome. Celui-ci ne fait que 12 m de fond et
queute. Ensuite ils choisissent la bonne piste :
la branche gauche au d?art de la galerie
J?ome. Le nez du chien de Lucky Luke leur
montre le chemin dans la Galerie Rantanplan,
qui est une partie d?un Réseau de vieilles
galeries phr?tiques. Il y a sans exag?ation au
moins 10 autres d?arts ?droite et ?gauche qui
n?ont pas encore ??explor?. Le fort courant
d?air dans le dos pousse les topographes dans la
bonne direction. Apr? quelques centaines de
m?res les dimensions augmentent de plus en plus
et les topographes rangent leurs mat?iel.
Ensemble ils atteignent ainsi un balcon perch??
15 m de hauteur donnant sur un grand vide : une
vraie salle !
La galerie Rantanplan
Apr?
une heure exasp?ante de plant?de spits avec le
seul tamponnoir d?ectueux restant, ils
parviennent ?descendre avec leur dernier bout
de corde dans la Salle Sidonie. Une
grande salle ébouleuse de pr? de 75 m de long
sur 40 m de large. Apr? l?escalade du c?e
d?Eboulis classique au centre, le sol redescend
pour terminer sur un puits o?le courant d?air
prometteur s?engloutit. Comme il est presque
minuit, et sur manque de corde l?explo est
laiss? aux suivants.
Faut-il dire que l??uipe est tr? contente,
elle rentre au bivouac avec 400 m de topo en
poche. Malgr?l?heure tardive, 3 h du matin, ils
gardent le sourire.
Tout
le monde est heureux quand ils rentrent au
camping le lendemain soir, encore tant de
possibilit? sont ouvertes maintenant, une
grande salle, le bon courant d?air?
On
aura de quoi raconter demain ?l?assembl? de
l?ARSIP !
La troisi?e semaine
La
quatri?e ?uipe qui part pour le fond, pour 3
jours, est le trio Paul, Erik V. et Erik B., un
nouveau. On va faire de la photo et de l?explo.
La photographie est une v?itable torture pour
Paul : essayez donc de donner des directives ?
deux personnes ayant le m?e nom.
-
Erik,
tu peux aller deux m?res vers la gauche ?
-
Et
toi, Erik, dirige le flash vers le haut et
mets-toi sur le bloc.
-
Non
Erik, pas toi, l?autre Erik !!
-
STOP,
Erik, que fais-tu, je t?ai dit d?aller ?
gauche !
-
Et
toi Erik, redescends de ce bloc !
-
NON.
L?AUTRE ERIK !
-
AAAARGHHHH !
Enfin
quelques bons clich? ont quand m?e ??faits.
Finalement j?ai appel?Erik B., le plus petit,
? Petit Erik ?, ainsi le ? commandement ? est
devenu plus facile.
Erik
V., le Viking donc, ?ait malheureusement
malade, il ?ait faible, fatigu?et avait mal au
c?ur. En plus il trimbalait encore une fois le
plus lourd des kits, le plus grand kit de
transport qu?il avait pu se procurer au magasin
De Berghut. La seule chose dont il est encore
capable en arrivant au bivouac est de vomir
corps et ?e et de remplir 3 doggy bags
de m.... puis d?aller se coucher.
Petit
Erik et moi allons cimenter quelques blocs
instables dans la trémie avec les 5 kilos de
ciment prompt amen? p?iblement jusqu?ici.
Le
lendemain le Viking se sent mieux. Nous
retournons vers la Salle Barabas pour terminer
les 100 m de topo. Puis nous empruntons la
Galerie Rantanplan, tr? jolie mais l?endroit
id?l pour s?enrhumer tellement le courant d?air
est fort. Nous reprenons la topo l?o?Annette
l?a arr?? et mesurons encore 100 m jusqu?au
balcon impressionnant de la Salle Sidonie. Au
moment m?e de notre arriv? l?(15 h 30) nous
entendons subitement une chute d?eau. Une crue !
Pour nous aucun probl?e, mais je m?inqui?e
pour l??uipe, dont font partie mon ?ouse et ma
fille, qui doit se trouver au FR3 en ce moment.
Le FR3 est vraiment tr? dangereux en crue.
Salle Sidonie
Dans
la Salle Sidonie nous recherchons l?origine de
la chute d?eau et trouvons un puits actif qui
avale une trombe d?eau brune. Un acc? possible
?la Rivière, mais suicidaire aujourd?hui. Donc
on continue autre part. La Salle Sidonie m?ite
une topo d?aill? par les deux parois, mais
pour gagner du temps nous faisons uniquement une
topo rapide par le centre de la salle jusqu?au
puits qui a arr?éénos pr??esseurs. La corde
autour d?un gros bloc et nous descendons. On se
trouve dans une galerie de 3 m de large mais
d?au moins 30 m de haut, un v?itable canyon !
Vu la vitesse avec laquelle nous suivons tous
trois cette galerie, le nom de Galerie Michel
Vaillant nous para? appropri?
Nous
arrivons ?un nouveau vide noir, encore un
puits. Descendre depuis le haut avec notre C15
ne r?ssit pas, mais nous parvenons ?le
descendre en partie en d?escalade et une fois
au sol (8m plus bas) c?est la fin du canyon. Ou
non, erreur : 10 m plus haut le canyon se
poursuit mais plus large qu?avant. Impossible de
faire l?escalade sans corde d?assurance. Juste ?
cet endroit on peut partir ?droite et on voit
un grand vide noir. Nous d?escaladons 5 m
jusque dans une salle sableuse de 15 m de large.
Comme son homonyme des BD elle est baptis?
Salle Sophie.
Et
puis, subitement, nous percevons le bruit d?une
Rivière. Pas un b?e ruisseau, non c?est bien le
grondement d?une Rivière qui nous parvient aux
oreilles. LA Rivière ! La Rivière, que nous
perdons ?-648 m dans la trémie et que nous
cherchons depuis des jours. Nous cherchons
l?origine du bruit, nous devons nous baisser,
puis ramper et 5 m plus loin... un bloc d?ach?
de la vo?e nous barre le chemin. Anti climax
complet ! Plus loin ? nous semble plus grand,
mais pas moyen de passer. Les jurons belges et
hollandais ne font pas changer d?avis ce bloc de
m...e et donc nous faisons demi-tour. Nous
retournons vers la Salle Sidonie tout en levant
la topo, une fois léénous emballons tout et
filons vers le bivouac.
Du
coup la maladie d?Erik est gu?ie. Le lendemain
retour vers la surface. Nous commenééns ?
conna?re chaque bloc du trajet de 3 km
maintenant et en moins de 6 heures le premier
sort sur un lapiaz froid et tremp?
L??uipe du FR3 ne semblait pas avoir ??trop
ennuy?par la crue, mais ils ?aient sortis
tremp?, l?orage tr? violent ?ait heureusement
pass?un peu plus ?l'ouest. Annette avait
topographi?une grande partie des amonts en
compagnie d?Odile et de Kim. Patrick et JP
avaient fait de la d?ob dans l?aval. Bien, il
ne reste donc plus qu'?faire la topo des puits
et ?d??uiper. La semaine est presque termin?
mais gr?e aux efforts du duo Tjerk/Marcel,
suivi de Stoche, Patrick et JP, tout est boucl?
le dernier vendredi de notre s?our !
R?ultats
Le
bilan de cette exp?est satisfaisant.
Dans
le Système d?Anialarra nous avons topographi?
plus de 1000 m de nouvelles galeries. Le
d?eloppement passe de 16,8 ?17,8 km. Ce
qui est plus important, symboliquement, est que
la profondeur passe de -648 m ?-707 m.
Nous
nous sommes arr?? sur rien (une escalade) dans
un grand canyon et avons entendu la Rivière
recherch? (ou une autre) par un passage ?
d?obstruer facilement. Dans la zone Rantanplan
on voit une multitude de d?arts dont aucun n?a
encore ??explor? L?amont de la Galerie
J?ome, de l?autre c??du Puits Lambique peut
encore livrer des surprises puisque soufflant un
bon courant d?air.
Nous
avons enjamb?encore une partie du ? chainon
manquant ? vers l?AN8, mais suivons toujours les
galeries fossiles qui semblent se diriger vers
les puits de l?AN8, tandis que nous n?avons
encore rien trouv?des 2 km de Rivière manquant
entre les deux Cavité . En tout cas nous devons
encore descendre 250 m avant de d?oucher dans
le collecteur de l?AN8, donc aux environs de
-950 m.
Il
est aussi d?importance d?avoir trouv?un Réseau
fossile complexe comptant trois niveaux
distincts qui semblent correspondre aux niveaux
phr?tiques d?il y a des millions d?ann?s,
quand les Résurgences dans la vall? se
situaient encore vers une altitude de +/- 1500 m
et non 1000 m plus bas comme actuellement. Un
Réseau creus?dans le calcaire pur et pas sur la
limite du schiste et du calcaire o?s?éboulent
les Rivières aujourd?hui. Tout ceci n?est pas
seulement important pour la compr?ension de
l?histoire du massif de la Pierre-Saint-Martin
(?aucun autre endroit des Réseaux aussi
importants de galeries phr?tiques ne sont
connus ?cet altitude), mais aussi du point de
vue purement Spéléologique c?est int?essant.
Ces anciens Réseaux phr?tiques sont de
v?itables terrains de jeux dans la complexit?
de leurs galeries, beaucoup de d?eloppement et
de possibilit? d'interconnections et shunts
divers.
La galerie des Schtroumpfs
En
illustration : quand au mois d?ao? 2005 nous
avons pass?la trémie de -648 m, par une grande
remont? de 140 m jusqu?au point culminant dans
la Salle Gargamel, nous pensions (simples comme
nous le sommes) qu?il ne fallait que redescendre
140 m ?l?oppos? pour retrouver la Rivière.
Celle-ci se poursuivrait tranquillement dans une
galerie de 30 m de large jusqu??l?AN8, 2 km
plus loin et 300m plus bas. L?explo ne durerait
que quelques jours. Grosse erreur !
Nous
avons d??fait 7 sorties de 3 ?4 jours, et
n?avons toujours pas mis les pieds dans la
Rivière bien que nous ayons topographi?2500 m
de galeries fossiles. Nous constatons, et
esp?ons m?e, que le chemin vers l?AN8 sera
encore plein d?emb?hes et nous procurera encore
plusieurs ann?s de plaisir Spéléologique.
Le
boulot dans le FR3 peut ?alement ?re qualifi?
de succ?. Le kilom?re de topo d?ontre 2
choses :
-
l?ancienne topo doit ?re pivot? de 20?,
donc le terminus de la Cavité se trouve tout
pr? du Système, tandis que les amonts ne
passent pas du tout sous le Canyon Fossile
comme nous le pensions.
-
Les puits sont moins profonds que nous ne
croyions, et ceci combin??un nouveau
positionnement plus pr?is des altitudes des
entr?s AN6, AN51, AN519 et FR3 place enfin
la Rivière o?il le faut : ?la m?e
altitude que celle du Système et non 20 m
plus bas.
Le
travail n?est pas termin? il y a encore deux
entr?s au FR3 ?retopographier (AN548/FREU et
AN57) et nous comptons bien r?liser la jonction
physique entre le FR3 et le Système.
Topo - Ao? 2006
Participants :
Annette Van Houtte, Mark Michiels, Bart Saey,
Paul De Bie, Kim De Bie, Mario Lebbe (SC Avalon)
Erik
Van de Broeck (Hades)
Erik
Birkhoff, Marcel Dikstra, Tjerk Dalhuizen (Speleo
NL)
Et
nos amis fran?is : Stoche B?, Odile B?,
Patrick G?, Jean-Pierre Pitot
Sans
oublier nos fid?es sherpas et agr?ble
compagnie : Annemie, Wilfried, Annelet, Sofie,
Nike, Andreas, Tobias, Ellen, Jan , Claire?
Paul
De Bie
(merci ?
Annette pour la traduction de ce texte)
Le compte
rendu de septembre 2006